sábado, 5 de diciembre de 2009

@*#$%*&!


Me cago en vous, Mme de La Fayette,
EN SU CONCHUDISIMA PRINCESSE DE CLÈVES Y EN LA PUTA QUE LA PARIÓ.

Tengo TANTA MALA SUERTE Y SOY TAN PERO TAN MUFA que a la que pasaba antes que yo, le tocó Phèdre de Jean Racine (Théâte) y al que me seguía, POÉSIE!
a mi, por supuesto, lo que no me tenía que tocar: ROMAN.

Y tengo que hacer algo con ese pánico que me agarra con todos los examenes orales.
No puedo dar un oral.


Pero pr suerte, como dijo meine liebe von der Heyden, estoy con TODO menos un pie en el avión :)


CON UNA RUBIA EN EL AVIÓN, DIRECTO A PARÍS!!!♫ - 5 días!

jueves, 3 de diciembre de 2009

·.♦·.

Tantos granos de arena
pasaron por la cintura
de un reloj de cristal
que, como un ventanal,
resguarda a los cautivos
de potenciales peligros
que juzgan lastimeros.

¿Qué es el peligro
sin la curiosidad?

Curiosa hasta el hartazgo,
sin remordimientos ni dolor,
aprendo de las caidas y
de los vuelos hechos trizas.
Mas no puedo ignorar
el caos que resulta
de la intriga fatal.

¿Dónde está mi Norte?

Tantas horas de luz y
tantas horas de sombra,
tantos días en la penumbra.
Demasiado tiempo en la duda,
en un circulo vicioso donde
los vicios son virtudes
y las ambigüedades, verdades.



décider = (rappeler/raisons) + agir
raisons € [peur, haine] U [élections antérieures, principes x valeurs[

raisonner = s'engager = décider
<=> [ (rappeler) /(peur+haine+saletés) ] + agir x f (raisonner) ^conviction

Letrosa reprimida me decían.

lunes, 30 de noviembre de 2009

X

Diez días para el desastreeeeee!!!
Asumí que voy a estar un mes lejos de casa, que voy a pasar las fiestas sin la familia (pero sí con la familia que elegí: mis amigas), que en un mes no voy a hablar mi lengua materna (el español de España no cuenta) y que no voy a ver a mucha gente que me va a hacer falta en un mes.
Y me agarraron los miedos. Muchos y a todo.
Me agarró el Spleen cuando no me tenía que agarrar y me angustio diez días antes de salir, me faltan cosas esenciales para meter a la valija y no las encuentro, no anda la balanza cuando MÁS TIENE QUE ANDAR y lskdhsñkjfg
aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
quiero desaparecer por un rato, quiero ir a un cuarto blanco aislado de todo por un instante.

estoy tan lejos que no estoy, en mi cabeza me perdi, hace algun tiempo vivo ahi, fuera de esta realidad, es como desaparecer.

Comme les anges à l'oeil fauve,
Je reviendrai dans ton alcôve
Et vers toi glisserai sans bruit
Avec les ombres de la nuit;

Et je te donnerai, ma brune,
Des baisers froids comme la lune
Et des caresses de serpent
Autour d'une fosse rampant.

Quand viendra le matin livide,
Tu trouveras ma place vide,
Où jusqu'au soir il fera froid.

Comme d'autres par la tendresse,
Sur ta vie et sur ta jeunesse,
Moi, je veux régner par l'effroi.

domingo, 22 de noviembre de 2009

- -'


Acá es donde, à priori, mando a la gente que me deja los huevos al plato, que me dora la pildora o que me vive cagando.
También la que me miente, me falta el respeto o me hacer perder el tiempo.
Y me esta cayendo la ficha de que me olvidé de despachar a un par.

TENGO QUE PONERME AL DÍA ANTES DEL VIAJE.


coño carajo mierda todos putos y la re putisima madre que los parió

domingo, 15 de noviembre de 2009

la puta que los parió

Nos hacen sufrir para que tengamos este papelito del orté.


CHIEURS!!y la puta que los ré parió

martes, 3 de noviembre de 2009

comme c'est curieux, comme c'est bizarre, quelle coïncidence !

me gusta cuando me salen cosas que me gustan.
me gusta hablar ambiguamente.
como al chaboncito ese.
que esta ahí al lado del cosito ese chiquito.


Travail d’écriture : Écriture d’invention

(Un décor simple : au milieu une chaise, une petite table avec un verre d’eau et un tapis sombre, si possible verd, gris ou noir. Illumination légère et blanche au début qui finira verd bleuâtre et forte à la fin du prologue. Le Prologue est un homme haut, d’une veingtaine d’ans, pas très maigre, avec un smoking et une cravate verd pistache.)

Le Prologue

(Sortant de la coulisse de droite, les mains dans les poches, sifflottant. Il s’arrête au milieu, regarde la chaise puis le public. Il s’assoit, croise les jambes, boit une gorgée du verre d’eau [qu’il gardera dans la main], regarde sa montre et s’éclarci la gorge)

J’ai su que vous étiez ici pour un spectacle.

Pas n’importe lequel. Vous êtes ici parce que vous êtes un public exigeant, qui n’étanche sa soif d’émotions et de sensations qu’avec le mieux. (tend le verre d’eau au public) Qu’avec le mieux du mieux, la crème de la crème. Vous voulez voir sur scène un décor hors de norme, avec une architecture colossale, avec des effets de science fiction, des éclats, des lumières... Mais hélàs, mes chers amis, cela n’est qu’une partie de ce qu’est cette pièce. On a aussi... (il se tourne vers la gauche; les protagonistes sortent les uns derrière des autres, s’assoient par terre face aux spéctateurs) Des acteurs. Vouz voyez bien qu’ils sont comme nous, ils ont une peau, deux bras, deux jambes. Ils ont un nom aussi. (il parle aux acteurs maintenant, qu’ils sont immobiles) Mais aujourd’hui il se s’appeleront plus Grégoire, Clotilde, Marcel, Louis ou Marie. Juste pour cette nuit, il n’auront plus la peau morose et velue. Ils laisseront leur nature d’humains et se transformeront en monstres, en tanks vivants.. en... en Rhinocéros. (les acteurs se lèvent quand il finit de prononcer le mot)

(prend une autre gorgée d’eau)

Pourquoi viens-t-on au théâtre ? Pour tout voir, pour tout voir sur le plancher du scénario. Pour voir tout ce qu’il y a en nous dans le jeu des acteurs. On veut se voir reflété en Bérenger (l’acteur qui joue Bérenger se lève et une lumière verte l’illumine. Il semble presque ébloui). Avec son conformiste on voit le voisin, avec sa résistance on se voit dans nos plus beaux jours. Sa banalité touche paradoxalement les moins banaux des hommes... Avec la banalité des personnages on ressent qu’il n’est pas vraiment indespensable de faire défiler une bête hors de son habitat pour être absurde. (il marche vers la chaise où il s’assoit)

Je voudrais que vous, cher public, vous sortiez de cette salle avec quelquechose de nouveau. Je voudrais que cette pièce vous laisse une marque, une trace. Mais vous verrez... euh.. le metteur en scène n’a pas mi son meilleur effort dans le décor ! (rire étouffé)

La pièce pourrait bien être jouée dans une salle en blanc que les idées resteront des idées.

Jean sera toujours un homme adapté au système et un amant des règles. Bérenger sera toujours son ami le conformiste et le dérréglé. Daisy est condamné à être la blonde qui suit la masse. Et Dudard... bon.. Dudard purra changer son extérieur, mais dans le fond, il reste le même collège de Bérenger, celui qui, malgré tous les diplômes demeurera vide.

Je souhaiterais aussi que mes paroles vous servent à mieux vous enterrer dans cette oeuvre. (il pose le verre sur la tableet se redresse dans la chaise)

Je voudrais que vous voyez l’essence des personnages, que vous puissiez voir à travers la barrière physique des acteurs.

Qui est, en réalité Bérenger ? Jean ? Daisy ? Dudard ? Mr. Papillon ? Le Logicien ? Le vieux monsieur ? (au fur et à mesure qu’il prononce les noms, les acteurs correspondants se lèvent et laissent la scène par la droite)

Ne vous planquez pas dans la séduisante simplicité des faits.

Ici, on est dans une réalité contemporéene qui va au delà de toute réalité contemporéene. On est ici, mais on est nulle part. On est là-bas, mais on est juste à côté.

On ne sait pas de ce qu’on vous parle.... mais en même temps, on le connait par coeur et on veux vous trasmettre un tas de choses...!

(pause « réflexive »)

On va vous présenter l’histoire et le devenir d’un jeune homme, simple, banal, dépourvu d’originalité, ordinaire, commun, courant, anodin, habituel, impersonnel, inintéressant, insignifiant, insipide, plat, stéréotypé, trivial, vulgaire,

pas plus vieux que moi, d’ailleurs et celle de ses proches et de son village..

On verra ensemble comment l’histérie en masse peut se répandre à la vitesse de la lumière, ou, pour mieux dire, à la vitesse d’un galop de pachyderme.

Nous pourrons constater qu’est-ce qui se passe avec l’arrivée d’un rhinocéros dans une petite ville de rien du tout perdue dans un vaste monde..

...d’un rhinocéros... ou deux rhinocéros ... ou trois rhinocéros, ou bien quatre rhinocéros, et pourquoi pas cinq rhinocéros ? de même six rhinocéros ! et lorsque que l’on y est, sept rhinocéros !! huit rhinocéros ! neuf, dix, onze, quinze, vingt, cent, deux-cent, mille rhinocéros !!!! (avec chaque nombre de rhinocéros la voix du Prologue est étouffée par des barrissements et des galops de rhinocéros. Quand le bruit est insupportable, rideau et transition avec la pièce.)

martes, 20 de octubre de 2009

l'hiver des amants

No me gusta que mi faceta quasi-artística se revele en otro idioma.
Surgido en una noche de inspiración, voici mi lado cursi:

Je suis dans un état contradictoire
qui met en jeu la mémoire.
Je sens mon coeur froid
et le givre croitre en moi.
(Ma poitrine gélante,
sanglante, me tourmente)

Mais j'ai une fièvre ardente
qui s'agite et m'épouvante,
qui se révolte et qui s'affole,
qui m'apporte un souvenir
avec chaque goutte d'alcool,
(et qui meurt de jalousie
avec celles qui s'accrochent à ton col)

Les deux symptômes se somment
et me demandent qu'est-ce que nous sommes.
Que puis-je leur répondre
si chaque question m'effondre?

Même si nous sommes en printemps,
les souvenirs de nos étés
rongent et pourrissent nos idées.
Et le Temps lui-même
se charge de nous brûler lentement.

Que tu dises que tu m'aimes
ne vaut ni la salive de tes lèvres
si tu ne sais même pas ce que tu dis.
Peut-être tu me comprendras, jadis.
Peut-être je te comprendrais aussi.

J'ai le vertige après tant d'alleés-retours,
il faudrait bien parler, si ça vaut le coup,
car je ne veux pas rennoncer à toi,
mais tout ce que je voix

c'est l'incertitude et la désolation.
Un baiser n'est pas une solution,
mais une bûche en plus dans ce feu de passions.

L'hiver des amants

sábado, 10 de octubre de 2009

◊ Ecr. L'Inf

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Crtl V

Ecr.L'Inf. :
Écrasez l'Infâme. Dans les carnets de Voltaire, la devise, à force d'être familière, n'apparaît plus que sous cette forme abrégée. Voltaire invente même un certain M. Ecrelinf pour signer ses lettres les plus compromettantes.
Le mot "Infâme" ramasse en allégorie les têtes monstrueuses du fanatisme. Il n'y a pas là qu'une image: Voltaire est véritablement hanté par cette créature de cauchemar et il n'a de cesse d'en dépister les traces pour "rogner les griffes et limer les dents du monstre".
L'Infâme s'identifie à toutes les formes d'oppression intellectuelle et morale, à tous les dogmes arrogants, à toutes les certitudes tyranniques, mais désigne aussi la religion de la France, "toute catholique" depuis la révocation de l'édit de Nantes.

jueves, 8 de octubre de 2009

As-tu déjà aimé?


As-tu déjà aimé

pour la beauté du geste?
As-tu déjà croqué

la pomme à pleine dent?
Pour la saveur du fruit,

sa douceur et son zeste
T'es tu perdu souvent?
Oui j'ai déjà aimé
pour la beauté du geste
mais la pomme était dure.
Je m'y suis cassé les dents.
Ces passions immatures,
ces amours indigestes
m'ont écoeuré souvent.
Les amours qui durent
font des amants exsangues,
et leurs baisers trop mûrs
nous pourrissent la langue.

Les amour passagères
ont des futiles fièvres,
et leur baiser trop verts
nous écorchent les lèvres.

Car a vouloir s'aimer
pour la beauté du geste,
le ver dans la pomme
nous glisse entre les dents.
Il nous ronge le coeur,
le cerveau et le reste,
nous vide lentement.
Mais lorsqu'on ose s'aimer
pour la beauté du geste,
ce ver dans la pomme
qui glisse entre nos dents,

nous embaume le coeur,
le cerveau et nous laisse
son parfum au dedans.
Les amours passagères
font de futils efforts.
Leurs caresses ephémères
nous faitguent le corps.

Les amours qui durent
font les amants moins beaux.

Leurs caresses, à l'usure,

ont raison de nos peaux.



martes, 6 de octubre de 2009

me chupa todo un huevo-

vayanse todos a cagar.

manga de forros y la puta que los parió.

He dicho

¿¡?

Nun liebe kinder gebt fein acht
ich bin die stimme aus dem kissen
ich hab euch etwas mitgebracht
hab es aus meiner brust gerissen
mit diesem herz hab ich die macht
die augenlider zu erdressen
Ich singe bis der tag erwacht
ein heller schein am firmament
mein herz brennt

Sie kommen zu euch in der nacht
dämonen geister schwarze feen
sie kriechen aus dem kellerschacht
und werden unter euer bettzeug sehen

Nun liebe kinder gebt fein acht
ich bin die stimme aus dem kissen
ich hab euch etwas mitgebracht
ein heller schein am firmament
mein herz brennt

Sie kommen zu euch in der nacht
und stehlen eure kleinen heißen tränen
sie warten bis der mond erwacht
und drücken sie in meine kalten venen

Nun liebe kinder gebt fein acht
ich bin die stimme aus dem kissen
ich singe bis der tag erwacht
ein heller schein am firmament
mein herz brennt.



Ahora queridos niños escuchen bien
yo soy la voz de la almohada
os he traído algo
me lo he arrancado del pecho
con este corazón tengo el poder
para enganar los párpados
cantaré hasta que el dia despierte
un brillo claro en el firmamento
mi corazón arde

llegan a ti de noche
demonios, fantasmas y hadas negras
ellos salen del sótano
y verán debajo de vuestras sábanas

Ahora queridos niños pongan atencion
ya soy la voz de la almohada
os he traído algo
un brillo claro en el firmamento
mi corazón arde

Llegan a ti de noche
y os roban vuestras lágrimas calientes
esperan a que la luna despierte
y las vierten en mis venas frías

Ahora ninitos pongan atencion
ya soy la voz de la almohada
os he traído algo
un brillo claro en el firmamento
mi corazón arde

lunes, 5 de octubre de 2009

causerie

Después de varios fono-pleitos con la rubia más filósofa, llegamos a la conclusión de que NUNCA nos vamos a poner de acuerdo en ciertos puntos.
For igsampel; en la definición de la felicidad, en si necesito o no un psicólogo (reafirmo mi posición: NO necesito alguien que me organice la mente, puedo solita, pero tengo un tiempo ditinto al resto de los mortales), en si los sentimientos se pueden expresar con palabras, en si el Bienestar es una desición, entre otras cosas.

Qué bueno es saber que teniendo motivos para enloquecer, todavía estoy (más o menos) cuerda.
Y qué lindo es sentirme más liviana-

Soy una boluda imponente (:

domingo, 4 de octubre de 2009

125

Martín sintió cómo de pronto ella se dormía, mientras él trataba de ordenar el caos de su espíritu. Pero era un vértigo tan incoherente, los razonamientos resultaban siempre tan contradictorios que, poco a poco, fue invadido por un sopor invencible y por la sensación dulcísima (a pesar de todo) de estar al lado de la mujer que amaba.
Pero algo le impidió dormir, y poco a poco fue angustiandose.
Como si el príncipe -pensaba-, después de recorrer vastas y solitarias regiones, se encontrase por fin frente a la gruta donde ella duerme vigilada por el dragón. Y como si, para colmo, advirtiese que el dragón no vigila a su lado amenazante como lo imaginamos en los mitos infantiles sino, lo que era más angustioso, dentro de ella misma: como si fuera una princesa-dragón, un indiscernible monstruo, casto y llameante a la vez, candoroso y repelente al mismo tiempo: como si una purísima niña vestida de comunión tuviese pesadillas de reptil o de murciélago.

jueves, 1 de octubre de 2009

Le Léthé

Viens sur mon coeur, âme cruelle et sourde,
Tigre adoré, monstre aux airs indolents;
Je veux longtemps plonger mes doigts tremblants
Dans l'épaisseur de ta crinière lourde;

Dans tes jupons remplis de ton parfum
Ensevelir ma tête endolorie,
Et respirer, comme une fleur flétrie,
Le doux relent de mon amour défunt.

Je veux dormir! dormir plutôt que vivre!
Dans un sommeil aussi doux que la mort,
J'étalerai mes baisers sans remords
Sur ton beau corps poli comme le cuivre.

Pour engloutir mes sanglots apaisés
Rien ne me vaut l'abîme de ta couche;
L'oubli puissant habite sur ta bouche,
Et le Léthé coule dans tes baisers.

À mon destin, désormais mon délice,
J'obéirai comme un prédestiné;
Martyr docile, innocent condamné,
Dont la ferveur attise le supplice,

Je sucerai, pour noyer ma rancoeur,
Le népenthès et la bonne ciguë
Aux bouts charmants de cette gorge aiguë
Qui n'a jamais emprisonné de coeur.
Les Fleurs du Mal, Charles Baudelaire.

domingo, 27 de septiembre de 2009

99

Con tristeza volvió a pensar que lo separaban de ella abismos oscuros y que probablemente siempre lo separarían.
Pero entonces, volvía a reflexionar con renovada esperanza, ¿por qué se le había acercado en el parque?, ¿y no había dicho que lo necesitaba, que ellos tenían algo muy importante en común?
Caminó con indecisión unos pasos y luego, deteniéndose, mirando el pavimento, como interrogándose a sí mismo, se dijo: pero, ¿para qué puede necesitarme?
Sentía un amor vertiginoso por Alejandra. Con tristeza pensó que ella, en cambio, no lo sentía. Y que si lo necesitaba a él, Martín, no era en todo caso con el mismo sentimiento qu él experimentaba hacia ella.
Su cabeza era un caos.

lunes, 21 de septiembre de 2009

las cosas viejas siempre resurgen.

Je ne peux vous aimer autant que vous le souhaitiez.
De plus, mes intentions dépassent, hélàs, l'ordinaire.
Chaque soir je rêve de plonger dans la mer de vos bras
Et que vous ne me lâchiez pas.
Ne me noyez pas dans les mensonges.
À chaque geste de vos mains, mon coeur frémit.
À chaque regard de vos yeux de nuit,
mon âme réfraîchit.
Je ne peux point vous haïr nonplus,
C'est la raison pour laquelle nous nous sommes tus,
Je vous aime encore plus de ce que vous le souhaitiez.


Qué me importa el amor
lo que pedía
era tu ser entero para mí
en mí
en mi vida
aunque no te tuviera
aunque en días semanas meses años
no tuviera aquel dulce olor a flores
de tu piel suave usada
que me daba
todo el amor del mundo
Lo demás
el amor
qué me importaba
qué me importa.


Qué me importa, Poemas de amor, Idea Vilariñ


miércoles, 16 de septiembre de 2009

Alt F4

Es muy fácil angustiarse por las cosas pequeñas, es el atajo para evadirse de la realidad.
Si tengo muchos otros motivos para parar de respirar y ponerme a pensar, temas más urgentes y más profundos, ¿por qué me detengo en cosas simples y relativamente más sencillas de proyectar a futuro? Sabiendo también, que no me hace ningún bien ni que soluciono (ni me acerco a la solución de) conflictos o asignaturas pendientes que me carcomen el portaneurosis.
Porque, finalmente, tener muchos motivos para sentirme mal no significa que me tengan que abatir. No me van a abatir, no quiero ser una persona sumisa a sus emociones y que sus sentimientos o estados de ánimo interfieran con los demás aspectos de su vida.
Solo que a veces me canso de todos estos frenos.
Y ya no quiero más angustias de ningún tipo.
Ctrl Shift Inicio Delete

domingo, 13 de septiembre de 2009

en la esquina donde el tiempo nunca pasará

Cae la tarde y crece mi debilidad.
Conmovido por las luces de esta ciudad.
Y todo lo que veo me hace recordar
las tardes que con mi amor solía andar.
Por donde andas amor? Con quien estas?
Yo estoy parado en la esquina donde el tiempo nunca pasará.
Seria más nostalgico si hubiera un mar.
Igual me voy al rio a ahogar mis tristezas.
Detrás de mi los aviones vienen y van
Y yo que no se como olvidarme de ella.
Por donde andarás amor? Con quién estas?
Yo estoy parado en la esquina donde el tiempo nunca pasará.
Debió haber una razón para alejarte de mi.
Debió haber una razón para que dejes de creer en mi.
Debés tener una razón para olvidarte del amor que te di.
Debo volver, ya es tarde aunque nadie me espera.
Eso es lo malo de vivir en soledad.
Siento que cada día es como el anterior,
Es que no hago mas que pensar en ella.
Por donde andarás amor? Con quién estas?
Yo estoy parado en la esquina donde el tiempo nunca pasará.
Debió haber una razón para alejarte de mi.
Debió haber una razón para que dejes de creer en mi.
Debés tener una razón para olvidarte del amor que te di.

lunes, 7 de septiembre de 2009

un mélo aurait plus de classe

Comme la pluie nous manque parfois
Un orage aurait plus d'allure
Pour se crier ces choses là
Se jeter ces mots à la figure
Comme la pluie nous manque parfois
Comme le soleil nous tue
Comme ses rayons nous semblent froids
Quand on ne s'aime plus

Comme les forces nous manquent parfois
Une bagarre aurait plus de gueule
Passer ton visage à tabac
Qu'enfin plus personne n'en veule
Comme les forces nous manquent parfois
Comme nos bras nous trahissent
Lorsque l'amour entre nos doigts
Comme le sable glisse

Comme les pleurs nous manquent parfois
Un mélo aurait plus de classe
Quelques larmes, nous valons bien ça
Mais c'est trop demander hélas
Comme les pleurs nous manquent parfois

Comme la nuit nous manque parfois
Le noir serait plus à mon goût
Ces étoiles comme autant de croix
Tout un ciel en deuil de nous
Comme la nuit nous manque parfois
Comme elle tarde à venir
Quand elle tombe, ne trembles-tu de ça ?
Toutes ces nuits à venir...

domingo, 6 de septiembre de 2009

Y se río él también, contento de haberse sacado la oscuridad de adentro, tomándola de los hombros y besándole la garganta, que era como inclinarse sobre el invierno en el corazón del verano. Y esa noche, en la calma ardiente que duraría para siempre, ella fue una nevada en el lecho del capitán.


Y el marino vuelve a casa, Las maquinarias de la alegría, Ray Bradbury.


ragazzi

Mientras dormías
esperando el día, caí encandilado
es como un milagro viendo tus alas
-te quedan tan bien.
Algunas veces
he sido cobarde y tan cruel
-te debo tanto,
vos y todos mis cambios
Quiero acostarme
cerrar los ojos y olvidar.
Soñaba que me despertaba a tu lado
los perros corrían por todos lados
no se por qué todo se vio tan real

martes, 1 de septiembre de 2009

▼∟^▒ß¹

Me asombra como el amor lobotomiza a la gente.
De repente ya no son más dos seres independientes y autónomos, sino que son dos babosas aventosadas emanando cursilerías y diciendo boludeces. Se pasean a la noche por un lugar iluminado por un farol de vela con musica de fondo de pelicula de Hugh Grant, se regalan peluches y se dicen à longueur de journée que se aman, que son lo mejor que le pasó en la vida, que desde el día que se conocieron cambiaron, que se van a casar, que si se separan se mueren etc. También se pasan enrostrandole al resto de los mortales lo felices que son con su media mandarina y que, pobrecitos, ya van a ver que la persona indicada les va a llegar.
¡Métanse su show de cursilerías por el tracto intestinal! O muestrensela a quien le llegue a interesar, la idea de cambiar mi forma de ser para estar siguiendo a un nabo, lamiendole las botas a mi suegrita y ser una inútil que si no llama, no manda un mensaje de texto (que banales que se hicieron las formas de comunicación entre gente que se "ama") se desespera, pierde la razón y se empieza a hacer la cabeza, simple y sencillamente no me agrada ni me convence.
¡Todos sueñan con que paseando al perro en un parque floreado, una tarde de verano, encuentren casualmente al muchacho/a que va a terminar siendo el amor de su vida y que lo va a reconocer a primera vista! ¡Sí! ¡Desde la primera mirada sabían que se amaban!
Por favor..
Ça me donne la gerbe!
¿Por qué todos se mueren por tener un topos del amor? ¿Qué tiene ese cliché que le llama tanto la atención a todo el mundo?
¡Sean originales!

¿No pueden ver que el mundo no se reduce a estar con la persona que uno quiere? ¿Que el universo también abarca el pensamiento? ¿Las ideas, la Historia? LA.. ¿REALIDAD?
¿Qué pasa si uno se aisla del resto de las cosas que hacen a su propio mundo?
Te respondo; se termina siendo un desamparado, un idiota inútil, un tarado autista.
Los grandes poetas y escritores romanticos, que su estado de animo se traducía como un paisaje no creo que querrían ver en que se terminó usando el término "romantico".
Pobres Alfred de Musset, Balzac y Lamartine.

Personalmente pienso que el límite entre lo tierno, lo dulce, lo delicado, lo atento y lo cursi, lo exagerado, lo meloso, lo pegajoso y lo molesto, no está bien definido.
Y que cada día hay una parejita melosa que lo hace más confuso.

domingo, 30 de agosto de 2009

mon héro et ma tombe

"Y, no obstante, aun así, aun sabiendo de antemano todo lo que luego me sucedió, habría corrido a su lado."
"Por supuesto", pensó Bruno. "¿Y qué otro hombre, muchacho o adulto, tonto o sabio, no habría hecho lo mismo?"
-Me fascinaba -agregó Martín- como un abismo tenebroso, y si me desesperaba era precisamenteporque la quería y la necesitaba. ¿Cómo ha de desesperarnos algo que nos resulta indiferente?

sábado, 29 de agosto de 2009

mamut

Obstervación1: Licenciatura en cosmetología, allá voy.
Esperame sentada.

Observación2: El nivel de mis adquisiciones está subiendo de a poco.
Me di cuenta que hace más de seis meses que no me compro ropa y que en medio año me compré 4 novelas.

Observación3: Odio la economía, las ciencias politicas y la sociología. No hubo un instante en todo el año escolar en el que haya querido pasarme a ES. Sin embargo, después de varias horas de reflexión y muchos viajes en bondi sola con mi consciencia, estoy pensado si pasarme a L el año que viene; total, lo que haga de mi futuro remite a lo mismo: cagarme de hambre haciendo lo que me gusta.

Observación4: Cada día veo menos gente que piensa lo que hace, hace lo que dice y dice lo que piensa.

Observación5: No quiero que me llenen la cabeza con mierda "prêt-à-penser", me niego a ser una más en la masa. Me rehuso a aceptar y a dar por verdad toda una mentira preparada. Jamás voy a plegarme a una farsa de esta magnitud, cada individuo tiene el derecho y la libertad de pensar. Con todas las porquerías que salen actualmente en los diarios, en la tele, en las radios, en el cine le inyectan discretamente formas de pensar e ideales no-propios a las mentes frescas y fáciles de modelar: los niños y adolescentes. Adolescentes y chicos que al no tener herramientas para descifrar el mensaje subliminal, el doble sentido, dejan que la mierda importada se les pegue (o peor, que la mierda nacional, totalmente absurda y una copia mal réussie de la mierda made in the US, se convierta en su forma de pensar y que sean sus ideas e ideales algo totalmente superficial, irracional y banal.)
A todo esto y a mucho más me opongo.
Me desagrada y me desespera sólamente pensar que somos, desde la fundación, un país, un continente, sometido a capitales extranjeros y que se dejó manejar desde lejos durante siglos, sin hacer mucho para despegarse del dominio europeo, y posteriormente, norteamericano.
Por eso no quiero que quede un espacio libre para que puedan ponerme algo en la cabeza que no sean mis ideas, por eso y para eso encontré una solución: informarme, prestar atención y tratar de tener una mirada objetiva y crítica.
Claro está que soy una pendeja un poco agrandada (y que no tengo inconvenientes en decirlo), y que además de ser agrandada, me la doy por pseudo filósofa y cientifica en desarrollo. No tendré la experiencia ni el criterio para darle a una de ces cibles o para poder pensar de una manera más amplia; hasta el momento es lo mejor que me salió... con los años se va ir destilando.
Nos vemos en 35 años cuando escriba un libro.

e agora o que acont
eceu?
agora to zangada!

jueves, 20 de agosto de 2009

joy!

Estoy contenta, todo me la suda y me alegró la mañana la nota de mi ensayo!!
Ya me veo de acá unos veinte años de profesora de literatura o cursando la carrera de historia.
Mentira, ni en pedo hago la carrera de historia.

Vamos a tratar de ponerle gas al estudio.

En otras palabras, voy a cambiar la PC por los libros!

à bon entendeur, salut!

domingo, 16 de agosto de 2009

φ

|----------------a----------------|-----b-----|

(a+b)/a = a/b = φ

φ ≈1,61803398874894848204586834365638..

Equilibrio.
Armonía.

Estabilidad.
Firmeza.

Permanencia.
Continuidad.
Perdurabilidad.


Seguridad.


Para cualquier persona normal este monton de términos no tiene mucho sentido, pero para mí, tienen más sentido que cualquier otro grupo de palabras.

Estas últimas dos semanas fueron como un concentrado de eventos que fueron como una patada en la nuca. Digamos que también tuvieron un pH medio ácido, que me oxidaron y que también me redujeron.
Pero no hay mal que por bien no venga; los libros que estuve leyendo estas semanas me abrieron la cabeza a pensamientos que nunca antes se me habian pasado por la mente, además de haber sido un salvavidas.


sábado, 15 de agosto de 2009

Les pido que nos detengamos a pensar en la grandeza a la que todavía podemos aspirar si nos atrevemos a valorar la vida de otra manera. Nos pido ese coraje que nos sitúa en la verdadera dimensión del hombre. Todos, una y otra vez, nos doblegamos. Pero hay algo que no falla y es la convicción de que -únicamente- los valores del espíritu nos pueden salvar de este terremoto que amenaza la condición humana.

Primera Carta: Lo pequeño y lo grande, La resistencia, Ernesto Sabato

jueves, 6 de agosto de 2009

me frustra la hipocrecía.me frustran las vueltas a un asunto simple.me frustra no poder rendir a mi máximo nivel.me frustra el hecho de saber que supe algo desde un principio y lo ignoré.me frustra depender de algo o de alguien.me frustra no poder controlar algunas emociones.me frustran las personas exageradas en grado sumo.me frustran los asuntos superficiales.me frustra la gente que no logra abstraerse y pensar por sí misma quedandose en una burbuja.me frustran los que no son capaces de admitir errores.me frustra la inmadurez en personas supuestamente adultas.me frustran las despedidas.me frustra el desorden mental.me frustra la falta de organización.
me frustran los seres malagradecidos.
me frustran los manipuladores.
me frustra no tener la fuerza de voluntad necesaria para ciertas cosas.
me frustra no poder decir lo que me enoja.
me frustran los argumentos que se me ocurren horas después de la conversación.
me frustra que prometan y no cumplan.
me frustran los que me saben endulzar el oido.
me frustra que no me entiendan cuando digo que no o que si.
me frustran los prejuicios.
me frustra ser prejuiciosa.
me frustran los silencios incomodos.

Me frustra que venga cualquiera y que con un soplo vuele todo un trabajo minucioso, elaborado, costoso en terminos de esfuerzo y sufrido a la mierda.

Me frustra que me pisoteen y que yo me deje.

Me frustra que las cosas cambien y no por mí.

Me frustra ser tan irritable.

estoy de mal humor.


ODIO ESTAR INDISPUESTA.

lunes, 3 de agosto de 2009

Hay veces que me asombran lo vacias que llegaron a ser ciertas palabras.
Ya no tienen ni la decima parte de su significado original, ni se las dice en las mismas circunstancias.
Hoy en día se puede amar a una persona al mes de haberle visto por priemra vez la cara.
Yo puedo decir, afortunadamente, que amo, y con locura, a ciertas personas. Pero lo digo y lo sostengo después de años, meses, muchas semanas y miles de horas de haberlas conocido. Puedo decir que las amo pese a todos sus defectos y pese a todas las peleas, pasando por alto las heridas que llegaron a dejar y valorando lo bien que me hacen.
Se puede decir que estoy decepcionada.

Durand siempre dijo que un poeta es el que juega con las palabras y con el lenguaje.

Digo yo, esto es ser un poeta de la farsa?


sábado, 1 de agosto de 2009

Filósofando con una rubia.

Cuando las madres dicen "Quiero que armes TU criterio" quieren, en realidad, que armes un criterio igual al de ellas!
Porque sino no es un Criterio Válido.

Filosofando con una rubia.

miércoles, 29 de julio de 2009

καρδια

There's a fragile tension,
That's keeping us going
It may not last forever,
But oh well it's blowing

There's something magical in the air
Something so tragic we had to care

There's a strange obsession,
That's drawing us nearer
We don't understand it
It never gets clearer

There's something mystical in our dreams
So simplistic it kicks and screams

All we will seem to reek on the edge of collapse
Nothing can keep us down

There's a dizzying feeling,
That's keeping us flying
Some glittering gauntlet
Without even trying

There's something radical in our hands
Nothing logical to our plans



·It's not denial, i'm just very selective about the truth i accept·

Hay que empezar a cuidar el endocardio, el miocardio, el epicardio, el pericardio etc..
Porque no hay fármaco que te lo pueda curar, bitch.


miércoles, 22 de julio de 2009

Perfect

On another world by another star at another place and time
In another state of consciousness in another state of mind
Everything was almost perfect, everything fell into place,
That you may reach a different verdict,
If all the judges missed the case

In a parallel universe that's happening right now
Things between us must be worse but it's hard to see just how

And everything could have been perfect
Everything in the right place
Then I wouldn't have to play the suspect
Accused, abandoned and disgraced

I didn't choose, i didn't pull the trigger
It wasn't me, i'm just a plain and simple singer
I heard the sound, i turned my head around
To watch our love shot down

In another lonely universe, we're laying side by side
Well no-ones hurt and no-ones cursed and no one needs to hide

And everything is almost perfect
Everything is almost right
There are never any conflicts
There are never any fights


·Image: Un bar aux Folies Bergère, Édouard Manet.

·État d'esprit: Bof..

·Ganas de salir hoy: Nulas.

·Porcentaje de Mal Humor: 89%

martes, 7 de julio de 2009

Silence

Shhh.
Para qué Shh? Para qué voy a seguir guardando cosas adentro? Ya me estoy intoxicando.
Porqué no puedo sacarmelo de encima?

Lo único que tengo es un chuchotement silencieux de lo que quiero, y lo mastico entre los dientes.

Sigo con dudas que no me quiero sacar por miedo a lo que venga (lucky venga).
À partir des differentes manifestations et expressions des pensées de l'individu, et de son influence sur son phénotype macroscopique, on peut interpréter que je suis qu'une gamine, just a child, qui veut un homme (ou plutôt, un vieux gamin) pour aucune raison apparente.

C'est bon, j'idéalise. Mais en fin de comptes, je passe plus de temps à me crever la tête et a souffrir qu'à apprécier les moments avec lui.
Je dois faire quelquechose.
Mais cette fois, pour de bon.

jueves, 25 de junio de 2009

happy day

Hoy estoy contenta. La vida sigue cagandoseme de risa, pero hoy, todo sale bien.
El TPE avanza! Conseguimos a unos residentes del IREP que nos van a ayudar y ya mandé un mail a un neurocirujano del Fleni. Lástima que tengamso que entregarlo en 10 días ..
Hoy a la mañana Male trajo mate, no nos hicieron correr en gimnasia y salimos al mediodía.
Estoy contenta con el 15.75 en histoire, feliz de la vida con mi promedio de dos cifras de chimie y EUFORICA con el 18.5 en SVT ♥. Espero que no se me suba el estrellato a la cabeza nomás.

Todos se dejan la barba y el pelo como él
Pero no son como él
Todos declaran y hablan en nombre de él
Como si fueran él
Yo me pregunto que estara pensando él
Si pudiera ver
Como se llenan de plata hablando de él
Sin saber nada de él

Todos se compran la remerita del Che
Sin saber quien fue
Su nombre y su cara no paran de vender…

Parece McGuevara’s o CheDonald’s
Parece McGuevara’s O CheDonald’s

No es hermano de Fidel ni pariente de Pinochet
El nació en la Argentina y salió a recorrer
No es de la época de Evita y a pesar del musical
Nunca fue asistente de Peron, el General

Yo me pregunto por qué le tocó a él
Ser Jesucristo al final del milenio, che, eh, Che…

(Y lo mataron como un perro en Bolivia)
Vuelve y vuelve mil veces al que matan asi
O es que al final nunca muere
El que no teme morir

Parece McGuevara’s o CheDonald’s


jueves, 18 de junio de 2009

Looking back upon my life
And the places that I've been
Pictures, faces, girls I've loved
I try to remember when
Faded memories on the wall
Some names I have forgotten
But each one is a memory I
Look back on so often.

I look into the past
I want to make it last
I was there

I look into the past
I want to make it last
I was there

Looking back what I have done
There's lots more life to live
At times I feel overwhelmed
I question what I can give
But I don't let it get me down
Or cause me too much sorrow
There's no doubt about who I am
I always have tomorrow

I look into the past
I want to make it last
I was there

I look into the past
I want to make it last
I was there

Looking back upon my life
Faded memories on the wall
Looking now at who I am
I don't let it get me down.

Looking back upon my life
And the places that I've been
Pictures, faces, girls I've loved
I try to remember when
But I don't let it get me down
Or cause me too much sorrow
There's no doubt about who I am
I always have tomorrow

I look into the past
I want to make it last
I was there

I look into the past
I want to make it last
I was there

miércoles, 17 de junio de 2009

J'assume ma gravité

We're couting backwards.
On compte à rebours, d'ici à samedi tu feras quelquechose qui pourrira tout.
C'est le mysticisme du temps ciclique. Tout va se répéter, en se basant sur des évènements antérieurs. Et comme c'est toujours de la même manière, c-a-d, moi comme une conne je m'ouvre à toi, et quand les choses vont 'au mieux' tu dévoiles la vérité qui me brise le coeur. Mais, SVP! il m'aime quand même, hein, il dit que je suis importante pour lui!
MON CUL OUAIS. ¬¬
Mais bon, ça y est, j'assume ma gravité -même si ça me ronge, ça me pourrit, ça me rend dingue et ça me fou en l'air- j'assume le fait de ne pas être la seule à t'embrasser et à dire que je t'aime.
Or, ce qui me brûle est que toi, en effet, tu soies le seul a m'embrasser et que tu me dises que tu m'aimes sans connaitre le sens de tes mots.

Fou dont je suis affolée, je te hais autant que je t'aime!



domingo, 14 de junio de 2009

incertitude

L'incertitude, voilà le pire des sentiments possibles. 
L'incertitude c'est l'impotence, l'ignorance mélangée à la sagesse de ne rien faire. Mais quand cette sagesse de ne pas réagir dépasse ses propres limites.. qu'est-ce qu'il se passe? Qu'est-ce qu'on fait quand on sait qu'on ne sait rien?
Le sens commun vous dit d'aller éclaircir vos angoisses et vos doutes, mais la peur vous secoue et vous dit "ne le fais pas! tu perdras tout ce que tu as!". Cela me remporte à une autre question, qu'est-ce que j'ai?
Et je me réponds; j'ai une façade, un décor en carton, qui cache quelquechose que j'ai pas et que sûrement j'aurai jamais. J'ai des doutes, un gros tas, que j'éclaircirai pas de peur que la réponse soit trop vilaine. J'ai une incertitude qui me condamne à vivre une réalité sans profondeur, qui punit ma lâcheté avec la joie éphémère de te voir. 
Je haïs ne pas savoir ce que je peux m'attendre de toi ou de ce nous indéfini. Je déteste ne pas savoir qu'est-ce qu'on est. J'ai horreur de ne pas avoir conscience de ce que je suis pour toi, si je suis seulement désirée à cause d'avoir quelquechose que tu peux pas atteindre (encore) ou si ce que tu sens envers moi est purement hormonal et vide. Ne pas savoir jusqu'à quand ce sentiment durera en toi.. ou en moi me fait chier. J'en ai vraiment assez de me questionner si tu te vois ou pas avec une autre fille. C'est l'incertitude, hélàs. Mais je t'aime quand même et je ferais mon mieux pour ne pas te lâcher, c'est comme ça. Tout de même, si tu veux être lâché, je te retiendrai pas, rien ne t'attache, aucun engagement te noue les pieds à moi.
Or, je n'ai jamais cru aimer quelqu'un comme je t'aime. Est-ce que ça pourrait bien être la réponse à mes problématiques? 
je ne sais pas, je ne sais plus, je suis perdue-
C'est la vie.


I text a postcard sent to you
Did it go through?
Sending all my love to you
You are the moonlight of my life every night
Giving all my love to you
My beating heart belongs to you
I walked for miles til I found you
I'm here to honor you
If I lose everything in the fire
I'm sending all my love to you

With every breath that I'm worth here on Earth
I'm sending all my love to you
So if you dare to second guess you can rest assured
That all my love's all for you

My beating heart belongs to you
I walked for miles til I found you
I'm here to honor you
If I lose everything in the fire
I'm sending all my love to you

My beating heart belongs to you
I walked for miles til I found you
I'm here to honor you
If I lose everything in the fire
Did I ever make it through?

domingo, 7 de junio de 2009

♠♦♣♥

Dijiste no y fue el principio del final.
Despues de darte lo que no tenia que dar.
Ajeno al tiempo fue el amor que yo te di.
Lo que me diste no lo quiero recordar.

El paraiso junto a ella conocí,
pero mordi de la manzana que me dio.
Abri los ojos y desnuda la encontré
besandose con un Adan que no era yo.

Preso de ti quise escapar.
Preso de ti, ya no mas.

Ella ya no existe.

Tuviste a todos esos chicos a la vez,
pero la noche en que tu auto se estrello,
tu cara alegre nunca mas volvio a reir,
y nadie mas con vos se quizo acostar.

Preso de ti, pude escapar.
Preso de ti, ya no mas.

Ella ya no existe.

sábado, 6 de junio de 2009

À celle qui est trop gaie

Ta tête, ton geste, ton air
Sont beaux comme un beau paysage ;
Le rire joue en ton visage
Comme un vent frais dans un ciel clair.

Le passant chagrin que tu frôles
Est ébloui par la santé
Qui jaillit comme une clarté
De tes bras et de tes épaules.

Les retentissantes couleurs
Dont tu parsèmes tes toilettes
Jettent dans l'esprit des poètes
L'image d'un ballet de fleurs.

Ces robes folles sont l'emblème
De ton esprit bariolé ;
Folle dont je suis affolé,
Je te hais autant que je t'aime !

Quelquefois dans un beau jardin
Où je traînais mon atonie,
J'ai senti, comme une ironie,
Le soleil déchirer mon sein ;

Et le printemps et la verdure
Ont tant humilié mon coeur,
Que j'ai puni sur une fleur
L'insolence de la Nature.

Ainsi je voudrais, une nuit,
Quand l'heure des voluptés sonne,
Vers les trésors de ta personne,
Comme un lâche, ramper sans bruit,

Pour châtier ta chair joyeuse,
Pour meurtrir ton sein pardonné,
Et faire à ton flanc étonné
Une blessure large et creuse,

Et, vertigineuse douceur !
A travers ces lèvres nouvelles,
Plus éclatantes et plus belles,
T'infuser mon venin, ma soeur !

Bonus track:

L'amour du mensonge

Quand je te vois passer, ô ma chère indolente,
Au chant des instruments qui se brise au plafond
Suspendant ton allure harmonieuse et lente,
Et promenant l'ennui de ton regard profond ;

Quand je contemple, aux feux du gaz qui le colore,
Ton front pâle, embelli par un morbide attrait,
Où les torches du soir allument une aurore,
Et tes yeux attirants comme ceux d'un portrait,

Je me dis : Qu'elle est belle ! et bizarrement fraîche !
Le souvenir massif, royale et lourde tour,
La couronne, et son coeur, meurtri comme une pêche,
Est mûr, comme son corps, pour le savant amour.

Es-tu le fruit d'automne aux saveurs souveraines ?
Es-tu vase funèbre attendant quelques pleurs,
Parfum qui fait rêver aux oasis lointaines,
Oreiller caressant, ou corbeille de fleurs ?

Je sais qu'il est des yeux, des plus mélancoliques
Qui ne recèlent point de secrets précieux ;
Beaux écrins sans joyaux, médaillons sans reliques,
Plus vides, plus profonds que vous-mêmes, ô Cieux !

Mais ne suffit-il pas que tu sois l'apparence,
Pour réjouir un coeur qui fuit la vérité ?
Qu'importe ta bêtise ou ton indifférence ?
Masque ou décor, salut ! J'adore ta beauté.


lunes, 1 de junio de 2009

À bon entendeur, salut!

Soy bruja, hoy analizamos Spleen con Durand (muajajá)!
Ya me parece que lo mio con ese putañero de Carlos Bodelér es una obsesión..
Hasta el momento me identifiqué con más o menos 10 poesias y sonetos, identifiqué a gente cercana en poco más de 5 y me llegaron a fascinar unos 4 poemas. Sin mencionar a los que me llegaron directo al coeur y todas las que tienen una relación directa con cosas cotidianas.
Mire usté las cosas que viene una a descubrir.. ahora resulta que me gusta la poesia en francés.

Estuve toda la noche, toda la mañana y toda la tarde tarareando Aux Champs-Élysées
También resulta que si llego a ver otro cromosoma más me largo a llorar.
LES ANALYSES ET INTERPRETATIONS ME FONT CHIER!

crotte chier
merde fait
zut putain
shit


Este es uno de los poemas que le censuraron a Baudelaire allá por el lejano siglo XIX, lo calificaron como obceno y pornográfico. Sin embargo, hay que reconocerle los cojones que tuvo para tratar el tema que trata en esta laaaarga poesía en su época; las lesbianas.

Les Femmes Damnées
Delphine et Hippolyte

A la pâle clarté des lampes languissantes,
Sur de profonds coussins tout imprégnés d'odeur
Hippolyte rêvait aux caresses puissantes
Qui levaient le rideau de sa jeune candeur.

Elle cherchait, d'un oeil troublé par la tempête,
De sa naïveté le ciel déjà lointain,
Ainsi qu'un voyageur qui retourne la tête
Vers les horizons bleus dépassés le matin.

De ses yeux amortis les paresseuses larmes,
L'air brisé, la stupeur, la morne volupté,
Ses bras vaincus, jetés comme de vaines armes,
Tout servait, tout parait sa fragile beauté.

Etendue à ses pieds, calme et pleine de joie,
Delphine la couvait avec des yeux ardents,
Comme un animal fort qui surveille une proie,
Après l'avoir d'abord marquée avec les dents.

Beauté forte à genoux devant la beauté frêle,
Superbe, elle humait voluptueusement
Le vin de son triomphe, et s'allongeait vers elle,
Comme pour recueillir un doux remerciement.

Elle cherchait dans l'oeil de sa pâle victime
Le cantique muet que chante le plaisir,
Et cette gratitude infinie et sublime
Qui sort de la paupière ainsi qu'un long soupir.

- " Hippolyte, cher coeur, que dis-tu de ces choses ?
Comprends-tu maintenant qu'il ne faut pas offrir
L'holocauste sacré de tes premières roses
Aux souffles violents qui pourraient les flétrir ?

Mes baisers sont légers comme ces éphémères
Qui caressent le soir les grands lacs transparents,
Et ceux de ton amant creuseront leurs ornières
Comme des chariots ou des socs déchirants ;

Ils passeront sur toi comme un lourd attelage
De chevaux et de boeufs aux sabots sans pitié...
Hippolyte, ô ma soeur ! tourne donc ton visage,
Toi, mon âme et mon coeur, mon tout et ma moitié,

Tourne vers moi tes yeux pleins d'azur et d'étoiles !
Pour un de ces regards charmants, baume divin,
Des plaisirs plus obscurs je lèverai les voiles,
Et je t'endormirai dans un rêve sans fin ! "

Mais Hippolyte alors, levant sa jeune tête :
- " Je ne suis point ingrate et ne me repens pas,
Ma Delphine, je souffre et je suis inquiète,
Comme après un nocturne et terrible repas.

Je sens fondre sur moi de lourdes épouvantes
Et de noirs bataillons de fantômes épars,
Qui veulent me conduire en des routes mouvantes
Qu'un horizon sanglant ferme de toutes parts.

Avons-nous donc commis une action étrange ?
Explique, si tu peux, mon trouble et mon effroi :
Je frissonne de peur quand tu me dis : " Mon ange ! "
Et cependant je sens ma bouche aller vers toi.

Ne me regarde pas ainsi, toi, ma pensée !
Toi que j'aime à jamais, ma soeur d'élection,
Quand même tu serais une embûche dressée
Et le commencement de ma perdition ! "

Delphine secouant sa crinière tragique,
Et comme trépignant sur le trépied de fer,
L'oeil fatal, répondit d'une voix despotique :
- " Qui donc devant l'amour ose parler d'enfer ?

Maudit soit à jamais le rêveur inutile
Qui voulut le premier, dans sa stupidité,
S'éprenant d'un problème insoluble et stérile,
Aux choses de l'amour mêler l'honnêteté !

Celui qui veut unir dans un accord mystique
L'ombre avec la chaleur, la nuit avec le jour,
Ne chauffera jamais son corps paralytique
A ce rouge soleil que l'on nomme l'amour !

Va, si tu veux, chercher un fiancé stupide ;
Cours offrir un coeur vierge à ses cruels baisers ;
Et, pleine de remords et d'horreur, et livide,
Tu me rapporteras tes seins stigmatisés...

On ne peut ici-bas contenter qu'un seul maître ! "
Mais l'enfant, épanchant une immense douleur,
Cria soudain : - " Je sens s'élargir dans mon être
Un abîme béant ; cet abîme est mon cœur !

Brûlant comme un volcan, profond comme le vide !
Rien ne rassasiera ce monstre gémissant
Et ne rafraîchira la soif de l'Euménide
Qui, la torche à la main, le brûle jusqu'au sang.

Que nos rideaux fermés nous séparent du monde,
Et que la lassitude amène le repos !
Je veux m'anéantir dans ta gorge profonde,
Et trouver sur ton sein la fraîcheur des tombeaux ! "

- Descendez, descendez, lamentables victimes,
Descendez le chemin de l'enfer éternel !
Plongez au plus profond du gouffre, où tous les crimes,
Flagellés par un vent qui ne vient pas du ciel,

Bouillonnent pêle-mêle avec un bruit d'orage.
Ombres folles, courez au but de vos désirs ;
Jamais vous ne pourrez assouvir votre rage,
Et votre châtiment naîtra de vos plaisirs.

Jamais un rayon frais n'éclaira vos cavernes ;
Par les fentes des murs des miasmes fiévreux 
Filtrent en s'enflammant ainsi que des lanternes
Et pénètrent vos corps de leurs parfums affreux.

L'âpre stérilité de votre jouissance
Altère votre soif et roidit votre peau,
Et le vent furibond de la concupiscence
Fait claquer votre chair ainsi qu'un vieux drapeau.

Loin des peuples vivants, errantes, condamnées,
A travers les déserts courez comme les loups ;
Faites votre destin, âmes désordonnées,
Et fuyez l'infini que vous portez en vous !


Comentario al margen:
video que nos hizo ver Durand, de un cantante francés (que mucho no me cabe, vale aclarar) con este poème. Básicamente lo recita, pero las imágenes, el acompañamiento orquestral... le da un aire muy frenético.. perturbado.. AAHHASGJSAH ♥






domingo, 31 de mayo de 2009

Spleen et idéal

Nunca hubiera podido imaginarme subiendo poemas de Baudelaire, putañero añejo, fumanchero y limón, a mi página personal.

Tampoco me hubiera podido imaginar lo descuidado que está mi ingles, i can barely say something that makes sense (el "inglés" que enseña Ollier es un idioma aparte).
Los alumnos del Lycée Franco-Argentin Jean Mermoz tenemos la desventaja de no poder hablar bien en ningún idioma; si hablamos o escribimos en castellano siempre vamos a tener la duda de que si esta palabra va con s, con c o con z, y no porque seamos unos mogólicos (que en la mayoria de los casos, lo somos) sino porque en français (!) , va con s y se nos mezcla! Pasa lo mismo cuando escribimos en francés, nos mandamos un Fragnol de la concha de la lora inventando palabras. Y los profesores ofendidos o cagados de risa.
En inglés tenemos la desventaja que nos intentan enseñar un inglés britanico con acento francés, siempre traduciendo, que por supuesto, nadie entiende, nadie aprende... por suerte! Pero cuando intentas hablar con un tercero ajeno al liceo en anglais, te das cuenta de que esas dos horitas de mierda por semana con la estúpida de Ollier lamentablemente pudieron penetrar tu barrera de indiferencia (dibujando, escribiendo, haciendo cosas para otras materias, escuchando música) y que no podés hacer dos frases con sentido!! En esos momentos le deseas una fractura de cráneo y una hemorragia cerebral a la PÉTASSE ENFOIRÉE CHIEUSE ET EMMERDEUSE de Catherine Ollier.
FUCK OFF AND DIEEEEEE.
Alumos del Lycée Franco-Argentin Jean Mermoz  que se sientan identificados y que quieran adherir al maléfico plan para cortarle las cuerdas vocales y coserle los labios a Ollier,
Inscripciones abiertas.


LXXVIII 
- Spleen -

Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis,
Et que de l'horizon embrassant tout le cercle
II nous verse un jour noir plus triste que les nuits;

Quand la terre est changée en un cachot humide,
Où l'Espérance, comme une chauve-souris,
S'en va battant les murs de son aile timide
Et se cognant la tête à des plafonds pourris;

Quand la pluie étalant ses immenses traînées
D'une vaste prison imite les barreaux,
Et qu'un peuple muet d'infâmes araignées
Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux,

Des cloches tout à coup sautent avec furie
Et lancent vers le ciel un affreux hurlement,
Ainsi que des esprits errants et sans patrie
Qui se mettent à geindre opiniâtrement.

- Et de longs corbillards, sans tambours ni musique,
Défilent lentement dans mon âme; l'Espoir,
Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique,
Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir.

Les Fleurs du mal, Charles Baudelaire