sábado, 27 de febrero de 2010

]-∞ ;+∞[

je sens le vide]



Heureuse et malheureusement
qu'on s'est vu.
Heureuse et malheureusement
qu'on s'est connu.

Nous nous sommes tus,
heureux et malheureux.
Malheurs et bonheurs
ensemble on a vécu.

Heureuse et malheureusement
ça vaut bien la peine
de dire que je t'aime

Encore et toujours.



Heureuse et malheureusement, je t'aime.
27-01-10


c'est l'ironie, quoi.
en plus j'ai un super gros tas de trucs dans la tête qui me couvrent de merde jusqu'à la ceinture et qui m'empêchent de ramer quand vraiment je veux m'en sortir.
et pis y a toi, tu me fait chier, t'es le roi des cons au pays des emmerdeurs, mais tu me fais tellement de bien et je t'aime tellement qui me rend beaucoup plus difficile l'effort de te quitter.
je me sens un petit tas de merdouille impuissante et déchirable, et pour mieux me sentir je lis les fleurs de mon cher ami baudelaire qui m'accompagne toujours dans ces crises de plus en plus fréquentes. y a pleins de ses poésies qui me viennent à l'esprit en ce moment, pleins de vers seuls et dont je ne me rappelle plus d'où ils sortent.

Amante ou soeur, soyez la douceur éphémère
D'un glorieux automne ou d'un soleil couchant
·.♦·.
Puisque depuis longtemps que je t'aime,
Étant très logique! En effet,
Voulant du Mal chercher la crème
Et n'aimer qu'un monstre parfait,
Vraiment oui! Vieux monstre,
Je t'aime
·.♦·.

XXXI
Le vampire

Toi qui, comme un coup de couteau,
Dans mon coeur plaintif es entrée;
Toi qui, forte comme un troupeau
De démons, vins, folle et parée,

De mon esprit humilié
Faire ton lit et ton domaine;
— Infâme à qui je suis lié
Comme le forçat à la chaîne,

Comme au jeu le joueur têtu,
Comme à la bouteille l'ivrogne,
Comme aux vermines la charogne
— Maudite, maudite sois-tu!

J'ai prié le glaive rapide
De conquérir ma liberté,
Et j'ai dit au poison perfide
De secourir ma lâcheté.

Hélas! le poison et le glaive
M'ont pris en dédain et m'ont dit:
«Tu n'es pas digne qu'on t'enlève
À ton esclavage maudit,

Imbécile! — de son empire
Si nos efforts te délivraient,
Tes baisers ressusciteraient
Le cadavre de ton vampire!»

C.B.

miércoles, 24 de febrero de 2010


siento en mí un sentimiento de impotencia enorme que se suma a responsabilidades ajenas que asumo sin que se me pida. siento que a cada rato que pasa estoy más lejos de lo que quiero ser y que con cada día que vivo, más que acercarme a mi idéal me voy distanciando de a saltos gigantes por decisiones mal tomadas y malas respuestas a mi realidad.
no siento que la corriente y yo vayamos en el mismo sentido, algo debo estar haciendo mal para que todo esté al revez, algo debí haber pensado antes para mandarme a donde estoy -si es que pensé... o tal vez simplemente no tuve la capacidad para preveer las secuelas de mis decisiones.
más allá de todo eso, cuando me encarno tanto en situaciones o circunstancias en las que no tengo cartas que jugar; no sólo porque no me corresponda, sino porque no tengo herramientas para defenderme a la larga o a la corta; salgo masacrada emocionalmente y vulnerable al más mínimo cambio en el resto de los aspectos que hacen a mi vida. por más que trate de aislar cada bloque, todo se junta en algún punto, en mi punto de equilibrio y si algo me llega o me afecta corre como por una línea de pólvora hasta ese 'nudo harmonioso', perturbandome en cosas que nunca se me habrieran ocurrido conectar, para volar todo por los aires.
siento como si me hubieran hecho una lobotomía por lo impotente e inerte que soy◊

J'ai plus de souvenirs que si j'avais mille ans.

Un gros meuble à tiroirs encombré de bilans,
De vers, de billets doux, de procès, de romances,
Avec de lourds cheveux roulés dans des quittances,
Cache moins de secrets que mon triste cerveau.
C'est une pyramide, un immense caveau,
Qui contient plus de morts que la fosse commune.
— Je suis un cimetière abhorré de la lune,
Où comme des remords se traînent de longs vers
Qui s'acharnent toujours sur mes morts les plus chers.
Je suis un vieux boudoir plein de roses fanées,
Où gît tout un fouillis de modes surannées,
Où les pastels plaintifs et les pâles Boucher
Seuls, respirent l'odeur d'un flacon débouché.

Rien n'égale en longueur les boiteuses journées,
Quand sous les lourds flocons des neigeuses années
L'ennui, fruit de la morne incuriosité,
Prend les proportions de l'immortalité.
— Désormais tu n'es plus, ô matière vivante!
Qu'un granit entouré d'une vague épouvante,
Assoupi dans le fond d'un Sahara brumeux;
Un vieux sphinx ignoré du monde insoucieux,
Oublié sur la carte, et dont l'humeur farouche
Ne chante qu'aux rayons du soleil qui se couche.

C.B·


martes, 23 de febrero de 2010

TS2

T S2
spé SVT

Projects pour la Terminale S:
>couper au maxi ma vie sociale pour avoir une mention TB au BAC.
>avoir une mention TB au BAC.
>aprobar el Bachillerato.
>anotarme a Licenciatura en Ciencias Biológicas (y no arrepentirme).


on my own, here we go!

miércoles, 17 de febrero de 2010

happy bday


A este señor le quiero desear un feliz cumpleaños y darle las gracias por su música que suena conmigo hace más de 5 años.
Tiene mi admiración, mi respeto y mi gratitud.


(quiero dejar también un feliz cumple para mi abuela que hoy llega a los 93 años y otro para isa que nos recibió en madrid en su hogar :] )

lunes, 8 de febrero de 2010



Quand je mets à vos pieds un éternel hommage,
Voulez-vous qu'un instant je change de visage ?
Vous avez capturé les sentiments d'un coeur
Que pour vous adorer forma le créateur.
Je vous chéris, amour, et ma plume en délire
Couche sur le papier ce que je n'ose dire.
Avec soin de mes vers lisez les premiers mots,
Vous saurez quel remède apporter à mes maux.

Alfred de Musset

capo!