sábado, 5 de diciembre de 2009
@*#$%*&!
Me cago en vous, Mme de La Fayette,
EN SU CONCHUDISIMA PRINCESSE DE CLÈVES Y EN LA PUTA QUE LA PARIÓ.
Tengo TANTA MALA SUERTE Y SOY TAN PERO TAN MUFA que a la que pasaba antes que yo, le tocó Phèdre de Jean Racine (Théâte) y al que me seguía, POÉSIE!
a mi, por supuesto, lo que no me tenía que tocar: ROMAN.
Y tengo que hacer algo con ese pánico que me agarra con todos los examenes orales.
No puedo dar un oral.
Pero pr suerte, como dijo meine liebe von der Heyden, estoy con TODO menos un pie en el avión :)
CON UNA RUBIA EN EL AVIÓN, DIRECTO A PARÍS!!!♫ - 5 días!
jueves, 3 de diciembre de 2009
·.♦·.
pasaron por la cintura
de un reloj de cristal
que, como un ventanal,
resguarda a los cautivos
de potenciales peligros
que juzgan lastimeros.
¿Qué es el peligro
sin la curiosidad?
Curiosa hasta el hartazgo,
sin remordimientos ni dolor,
aprendo de las caidas y
de los vuelos hechos trizas.
Mas no puedo ignorar
el caos que resulta
de la intriga fatal.
¿Dónde está mi Norte?
Tantas horas de luz y
tantas horas de sombra,
tantos días en la penumbra.
Demasiado tiempo en la duda,
en un circulo vicioso donde
los vicios son virtudes
y las ambigüedades, verdades.
raisons € [peur, haine] U [élections antérieures, principes x valeurs[
raisonner = s'engager = décider
<=> [ (rappeler) /(peur+haine+saletés) ] + agir x f (raisonner) ^conviction
Letrosa reprimida me decían.
lunes, 30 de noviembre de 2009
X
Asumí que voy a estar un mes lejos de casa, que voy a pasar las fiestas sin la familia (pero sí con la familia que elegí: mis amigas), que en un mes no voy a hablar mi lengua materna (el español de España no cuenta) y que no voy a ver a mucha gente que me va a hacer falta en un mes.
Y me agarraron los miedos. Muchos y a todo.
Me agarró el Spleen cuando no me tenía que agarrar y me angustio diez días antes de salir, me faltan cosas esenciales para meter a la valija y no las encuentro, no anda la balanza cuando MÁS TIENE QUE ANDAR y lskdhsñkjfg
aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
quiero desaparecer por un rato, quiero ir a un cuarto blanco aislado de todo por un instante.
estoy tan lejos que no estoy, en mi cabeza me perdi, hace algun tiempo vivo ahi, fuera de esta realidad, es como desaparecer.
Comme les anges à l'oeil fauve,
Je reviendrai dans ton alcôve
Et vers toi glisserai sans bruit
Avec les ombres de la nuit;
Et je te donnerai, ma brune,
Des baisers froids comme la lune
Et des caresses de serpent
Autour d'une fosse rampant.
Quand viendra le matin livide,
Tu trouveras ma place vide,
Où jusqu'au soir il fera froid.
Comme d'autres par la tendresse,
Sur ta vie et sur ta jeunesse,
Moi, je veux régner par l'effroi.
domingo, 22 de noviembre de 2009
- -'
Acá es donde, à priori, mando a la gente que me deja los huevos al plato, que me dora la pildora o que me vive cagando.
También la que me miente, me falta el respeto o me hacer perder el tiempo.
Y me esta cayendo la ficha de que me olvidé de despachar a un par.
TENGO QUE PONERME AL DÍA ANTES DEL VIAJE.
coño carajo mierda todos putos y la re putisima madre que los parió
domingo, 15 de noviembre de 2009
martes, 3 de noviembre de 2009
comme c'est curieux, comme c'est bizarre, quelle coïncidence !
Travail d’écriture : Écriture d’invention
(Un décor simple : au milieu une chaise, une petite table avec un verre d’eau et un tapis sombre, si possible verd, gris ou noir. Illumination légère et blanche au début qui finira verd bleuâtre et forte à la fin du prologue. Le Prologue est un homme haut, d’une veingtaine d’ans, pas très maigre, avec un smoking et une cravate verd pistache.)
Le Prologue
(Sortant de la coulisse de droite, les mains dans les poches, sifflottant. Il s’arrête au milieu, regarde la chaise puis le public. Il s’assoit, croise les jambes, boit une gorgée du verre d’eau [qu’il gardera dans la main], regarde sa montre et s’éclarci la gorge)
J’ai su que vous étiez ici pour un spectacle.
Pas n’importe lequel. Vous êtes ici parce que vous êtes un public exigeant, qui n’étanche sa soif d’émotions et de sensations qu’avec le mieux. (tend le verre d’eau au public) Qu’avec le mieux du mieux, la crème de la crème. Vous voulez voir sur scène un décor hors de norme, avec une architecture colossale, avec des effets de science fiction, des éclats, des lumières... Mais hélàs, mes chers amis, cela n’est qu’une partie de ce qu’est cette pièce. On a aussi... (il se tourne vers la gauche; les protagonistes sortent les uns derrière des autres, s’assoient par terre face aux spéctateurs) Des acteurs. Vouz voyez bien qu’ils sont comme nous, ils ont une peau, deux bras, deux jambes. Ils ont un nom aussi. (il parle aux acteurs maintenant, qu’ils sont immobiles) Mais aujourd’hui il se s’appeleront plus Grégoire, Clotilde, Marcel, Louis ou Marie. Juste pour cette nuit, il n’auront plus la peau morose et velue. Ils laisseront leur nature d’humains et se transformeront en monstres, en tanks vivants.. en... en Rhinocéros. (les acteurs se lèvent quand il finit de prononcer le mot)
(prend une autre gorgée d’eau)
Pourquoi viens-t-on au théâtre ? Pour tout voir, pour tout voir sur le plancher du scénario. Pour voir tout ce qu’il y a en nous dans le jeu des acteurs. On veut se voir reflété en Bérenger (l’acteur qui joue Bérenger se lève et une lumière verte l’illumine. Il semble presque ébloui). Avec son conformiste on voit le voisin, avec sa résistance on se voit dans nos plus beaux jours. Sa banalité touche paradoxalement les moins banaux des hommes... Avec la banalité des personnages on ressent qu’il n’est pas vraiment indespensable de faire défiler une bête hors de son habitat pour être absurde. (il marche vers la chaise où il s’assoit)
Je voudrais que vous, cher public, vous sortiez de cette salle avec quelquechose de nouveau. Je voudrais que cette pièce vous laisse une marque, une trace. Mais vous verrez... euh.. le metteur en scène n’a pas mi son meilleur effort dans le décor ! (rire étouffé)
La pièce pourrait bien être jouée dans une salle en blanc que les idées resteront des idées.
Jean sera toujours un homme adapté au système et un amant des règles. Bérenger sera toujours son ami le conformiste et le dérréglé. Daisy est condamné à être la blonde qui suit la masse. Et Dudard... bon.. Dudard purra changer son extérieur, mais dans le fond, il reste le même collège de Bérenger, celui qui, malgré tous les diplômes demeurera vide.
Je souhaiterais aussi que mes paroles vous servent à mieux vous enterrer dans cette oeuvre. (il pose le verre sur la tableet se redresse dans la chaise)
Je voudrais que vous voyez l’essence des personnages, que vous puissiez voir à travers la barrière physique des acteurs.
Qui est, en réalité Bérenger ? Jean ? Daisy ? Dudard ? Mr. Papillon ? Le Logicien ? Le vieux monsieur ? (au fur et à mesure qu’il prononce les noms, les acteurs correspondants se lèvent et laissent la scène par la droite)
Ne vous planquez pas dans la séduisante simplicité des faits.
Ici, on est dans une réalité contemporéene qui va au delà de toute réalité contemporéene. On est ici, mais on est nulle part. On est là-bas, mais on est juste à côté.
On ne sait pas de ce qu’on vous parle.... mais en même temps, on le connait par coeur et on veux vous trasmettre un tas de choses...!
(pause « réflexive »)
On va vous présenter l’histoire et le devenir d’un jeune homme, simple, banal, dépourvu d’originalité, ordinaire, commun, courant, anodin, habituel, impersonnel, inintéressant, insignifiant, insipide, plat, stéréotypé, trivial, vulgaire,
pas plus vieux que moi, d’ailleurs et celle de ses proches et de son village..
On verra ensemble comment l’histérie en masse peut se répandre à la vitesse de la lumière, ou, pour mieux dire, à la vitesse d’un galop de pachyderme.
Nous pourrons constater qu’est-ce qui se passe avec l’arrivée d’un rhinocéros dans une petite ville de rien du tout perdue dans un vaste monde..
...d’un rhinocéros... ou deux rhinocéros ... ou trois rhinocéros, ou bien quatre rhinocéros, et pourquoi pas cinq rhinocéros ? de même six rhinocéros ! et lorsque que l’on y est, sept rhinocéros !! huit rhinocéros ! neuf, dix, onze, quinze, vingt, cent, deux-cent, mille rhinocéros !!!! (avec chaque nombre de rhinocéros la voix du Prologue est étouffée par des barrissements et des galops de rhinocéros. Quand le bruit est insupportable, rideau et transition avec la pièce.)
martes, 20 de octubre de 2009
l'hiver des amants
Surgido en una noche de inspiración, voici mi lado cursi:
Je suis dans un état contradictoire
qui met en jeu la mémoire.
Je sens mon coeur froid
et le givre croitre en moi.
(Ma poitrine gélante,
sanglante, me tourmente)
Mais j'ai une fièvre ardente
qui s'agite et m'épouvante,
qui se révolte et qui s'affole,
qui m'apporte un souvenir
avec chaque goutte d'alcool,
(et qui meurt de jalousie
avec celles qui s'accrochent à ton col)
Les deux symptômes se somment
et me demandent qu'est-ce que nous sommes.
Que puis-je leur répondre
si chaque question m'effondre?
Même si nous sommes en printemps,
les souvenirs de nos étés
rongent et pourrissent nos idées.
Et le Temps lui-même
se charge de nous brûler lentement.
Que tu dises que tu m'aimes
ne vaut ni la salive de tes lèvres
si tu ne sais même pas ce que tu dis.
Peut-être tu me comprendras, jadis.
Peut-être je te comprendrais aussi.
J'ai le vertige après tant d'alleés-retours,
il faudrait bien parler, si ça vaut le coup,
car je ne veux pas rennoncer à toi,
mais tout ce que je voix
c'est l'incertitude et la désolation.
Un baiser n'est pas une solution,
mais une bûche en plus dans ce feu de passions.
sábado, 10 de octubre de 2009
◊ Ecr. L'Inf
Crtl V
Ecr.L'Inf. :
Écrasez l'Infâme. Dans les carnets de Voltaire, la devise, à force d'être familière, n'apparaît plus que sous cette forme abrégée. Voltaire invente même un certain M. Ecrelinf pour signer ses lettres les plus compromettantes.
Le mot "Infâme" ramasse en allégorie les têtes monstrueuses du fanatisme. Il n'y a pas là qu'une image: Voltaire est véritablement hanté par cette créature de cauchemar et il n'a de cesse d'en dépister les traces pour "rogner les griffes et limer les dents du monstre".
L'Infâme s'identifie à toutes les formes d'oppression intellectuelle et morale, à tous les dogmes arrogants, à toutes les certitudes tyranniques, mais désigne aussi la religion de la France, "toute catholique" depuis la révocation de l'édit de Nantes.
jueves, 8 de octubre de 2009
As-tu déjà aimé?
As-tu déjà aimé
pour la beauté du geste?
As-tu déjà croqué
la pomme à pleine dent?
Pour la saveur du fruit,
sa douceur et son zeste
T'es tu perdu souvent?
Oui j'ai déjà aimépour la beauté du gestemais la pomme était dure.Je m'y suis cassé les dents.Ces passions immatures,ces amours indigestesm'ont écoeuré souvent.Les amours qui durent
font des amants exsangues,
et leurs baisers trop mûrs
nous pourrissent la langue.
Les amour passagèresont des futiles fièvres,et leur baiser trop vertsnous écorchent les lèvres.
Car a vouloir s'aimerpour la beauté du geste,le ver dans la pommenous glisse entre les dents.Il nous ronge le coeur,le cerveau et le reste,nous vide lentement.Mais lorsqu'on ose s'aimer
pour la beauté du geste,
ce ver dans la pomme
qui glisse entre nos dents,
nous embaume le coeur,
le cerveau et nous laisse
son parfum au dedans.
Les amours passagèresfont de futils efforts.Leurs caresses ephémèresnous faitguent le corps.
Les amours qui durent
font les amants moins beaux.
Leurs caresses, à l'usure,
ont raison de nos peaux.
martes, 6 de octubre de 2009
¿¡?
lunes, 5 de octubre de 2009
causerie
For igsampel; en la definición de la felicidad, en si necesito o no un psicólogo (reafirmo mi posición: NO necesito alguien que me organice la mente, puedo solita, pero tengo un tiempo ditinto al resto de los mortales), en si los sentimientos se pueden expresar con palabras, en si el Bienestar es una desición, entre otras cosas.
Qué bueno es saber que teniendo motivos para enloquecer, todavía estoy (más o menos) cuerda.
Y qué lindo es sentirme más liviana-
Soy una boluda imponente (:
domingo, 4 de octubre de 2009
125
Pero algo le impidió dormir, y poco a poco fue angustiandose.
Como si el príncipe -pensaba-, después de recorrer vastas y solitarias regiones, se encontrase por fin frente a la gruta donde ella duerme vigilada por el dragón. Y como si, para colmo, advirtiese que el dragón no vigila a su lado amenazante como lo imaginamos en los mitos infantiles sino, lo que era más angustioso, dentro de ella misma: como si fuera una princesa-dragón, un indiscernible monstruo, casto y llameante a la vez, candoroso y repelente al mismo tiempo: como si una purísima niña vestida de comunión tuviese pesadillas de reptil o de murciélago.
jueves, 1 de octubre de 2009
Le Léthé
Tigre adoré, monstre aux airs indolents;
Je veux longtemps plonger mes doigts tremblants
Dans l'épaisseur de ta crinière lourde;
Ensevelir ma tête endolorie,
Et respirer, comme une fleur flétrie,
Le doux relent de mon amour défunt.
Je veux dormir! dormir plutôt que vivre!
Dans un sommeil aussi doux que la mort,
J'étalerai mes baisers sans remords
Sur ton beau corps poli comme le cuivre.
Rien ne me vaut l'abîme de ta couche;
L'oubli puissant habite sur ta bouche,
Et le Léthé coule dans tes baisers.
À mon destin, désormais mon délice,
J'obéirai comme un prédestiné;
Martyr docile, innocent condamné,
Dont la ferveur attise le supplice,
domingo, 27 de septiembre de 2009
99
Pero entonces, volvía a reflexionar con renovada esperanza, ¿por qué se le había acercado en el parque?, ¿y no había dicho que lo necesitaba, que ellos tenían algo muy importante en común?
Caminó con indecisión unos pasos y luego, deteniéndose, mirando el pavimento, como interrogándose a sí mismo, se dijo: pero, ¿para qué puede necesitarme?
Sentía un amor vertiginoso por Alejandra. Con tristeza pensó que ella, en cambio, no lo sentía. Y que si lo necesitaba a él, Martín, no era en todo caso con el mismo sentimiento qu él experimentaba hacia ella.
Su cabeza era un caos.
lunes, 21 de septiembre de 2009
Je ne peux vous aimer autant que vous le souhaitiez.
lo que pedía
era tu ser entero para mí
en mí
en mi vida
aunque no te tuviera
aunque en días semanas meses años
no tuviera aquel dulce olor a flores
de tu piel suave usada
que me daba
todo el amor del mundo
Lo demás
el amor
qué me importaba
qué me importa.
miércoles, 16 de septiembre de 2009
Alt F4
Si tengo muchos otros motivos para parar de respirar y ponerme a pensar, temas más urgentes y más profundos, ¿por qué me detengo en cosas simples y relativamente más sencillas de proyectar a futuro? Sabiendo también, que no me hace ningún bien ni que soluciono (ni me acerco a la solución de) conflictos o asignaturas pendientes que me carcomen el portaneurosis.
Porque, finalmente, tener muchos motivos para sentirme mal no significa que me tengan que abatir. No me van a abatir, no quiero ser una persona sumisa a sus emociones y que sus sentimientos o estados de ánimo interfieran con los demás aspectos de su vida.
Solo que a veces me canso de todos estos frenos.
Y ya no quiero más angustias de ningún tipo.
Ctrl Shift Inicio Delete
domingo, 13 de septiembre de 2009
en la esquina donde el tiempo nunca pasará
Conmovido por las luces de esta ciudad.
Y todo lo que veo me hace recordar
las tardes que con mi amor solía andar.
Por donde andas amor? Con quien estas?
Yo estoy parado en la esquina donde el tiempo nunca pasará.
Seria más nostalgico si hubiera un mar.
Igual me voy al rio a ahogar mis tristezas.
Detrás de mi los aviones vienen y van
Y yo que no se como olvidarme de ella.
Por donde andarás amor? Con quién estas?
Yo estoy parado en la esquina donde el tiempo nunca pasará.
Debió haber una razón para alejarte de mi.
Debió haber una razón para que dejes de creer en mi.
Debés tener una razón para olvidarte del amor que te di.
Debo volver, ya es tarde aunque nadie me espera.
Eso es lo malo de vivir en soledad.
Siento que cada día es como el anterior,
Es que no hago mas que pensar en ella.
Por donde andarás amor? Con quién estas?
Yo estoy parado en la esquina donde el tiempo nunca pasará.
Debió haber una razón para alejarte de mi.
Debió haber una razón para que dejes de creer en mi.
Debés tener una razón para olvidarte del amor que te di.
lunes, 7 de septiembre de 2009
un mélo aurait plus de classe
domingo, 6 de septiembre de 2009
ragazzi
esperando el día, caí encandilado
es como un milagro viendo tus alas
-te quedan tan bien.
Algunas veces
he sido cobarde y tan cruel
-te debo tanto,
vos y todos mis cambios
Quiero acostarme
cerrar los ojos y olvidar.
Soñaba que me despertaba a tu lado
los perros corrían por todos lados
no se por qué todo se vio tan real
martes, 1 de septiembre de 2009
▼∟^▒ß¹
domingo, 30 de agosto de 2009
mon héro et ma tombe
sábado, 29 de agosto de 2009
mamut
Esperame sentada.
Observación2: El nivel de mis adquisiciones está subiendo de a poco.
Me di cuenta que hace más de seis meses que no me compro ropa y que en medio año me compré 4 novelas.
Observación3: Odio la economía, las ciencias politicas y la sociología. No hubo un instante en todo el año escolar en el que haya querido pasarme a ES. Sin embargo, después de varias horas de reflexión y muchos viajes en bondi sola con mi consciencia, estoy pensado si pasarme a L el año que viene; total, lo que haga de mi futuro remite a lo mismo: cagarme de hambre haciendo lo que me gusta.
Observación4: Cada día veo menos gente que piensa lo que hace, hace lo que dice y dice lo que piensa.
Observación5: No quiero que me llenen la cabeza con mierda "prêt-à-penser", me niego a ser una más en la masa. Me rehuso a aceptar y a dar por verdad toda una mentira preparada. Jamás voy a plegarme a una farsa de esta magnitud, cada individuo tiene el derecho y la libertad de pensar. Con todas las porquerías que salen actualmente en los diarios, en la tele, en las radios, en el cine le inyectan discretamente formas de pensar e ideales no-propios a las mentes frescas y fáciles de modelar: los niños y adolescentes. Adolescentes y chicos que al no tener herramientas para descifrar el mensaje subliminal, el doble sentido, dejan que la mierda importada se les pegue (o peor, que la mierda nacional, totalmente absurda y una copia mal réussie de la mierda made in the US, se convierta en su forma de pensar y que sean sus ideas e ideales algo totalmente superficial, irracional y banal.)
A todo esto y a mucho más me opongo.
Me desagrada y me desespera sólamente pensar que somos, desde la fundación, un país, un continente, sometido a capitales extranjeros y que se dejó manejar desde lejos durante siglos, sin hacer mucho para despegarse del dominio europeo, y posteriormente, norteamericano.
Por eso no quiero que quede un espacio libre para que puedan ponerme algo en la cabeza que no sean mis ideas, por eso y para eso encontré una solución: informarme, prestar atención y tratar de tener una mirada objetiva y crítica.
Claro está que soy una pendeja un poco agrandada (y que no tengo inconvenientes en decirlo), y que además de ser agrandada, me la doy por pseudo filósofa y cientifica en desarrollo. No tendré la experiencia ni el criterio para darle a una de ces cibles o para poder pensar de una manera más amplia; hasta el momento es lo mejor que me salió... con los años se va ir destilando.
Nos vemos en 35 años cuando escriba un libro.
e agora o que aconteceu?
agora to zangada!
jueves, 20 de agosto de 2009
joy!
domingo, 16 de agosto de 2009
φ
φ ≈1,61803398874894848204586834365638..
sábado, 15 de agosto de 2009
♦
jueves, 6 de agosto de 2009
me frustran los seres malagradecidos.
me frustran los manipuladores.
me frustra no tener la fuerza de voluntad necesaria para ciertas cosas.
me frustra no poder decir lo que me enoja.
me frustran los argumentos que se me ocurren horas después de la conversación.
me frustra que prometan y no cumplan.
me frustran los que me saben endulzar el oido.
me frustra que no me entiendan cuando digo que no o que si.
me frustran los prejuicios.
me frustra ser prejuiciosa.
me frustran los silencios incomodos.
Me frustra que venga cualquiera y que con un soplo vuele todo un trabajo minucioso, elaborado, costoso en terminos de esfuerzo y sufrido a la mierda.
Me frustra que me pisoteen y que yo me deje.
Me frustra que las cosas cambien y no por mí.
Me frustra ser tan irritable.
estoy de mal humor.
ODIO ESTAR INDISPUESTA.
lunes, 3 de agosto de 2009
sábado, 1 de agosto de 2009
Filósofando con una rubia.
miércoles, 29 de julio de 2009
καρδια
That's keeping us going
It may not last forever,
But oh well it's blowing
There's something magical in the air
Something so tragic we had to care
There's a strange obsession,
That's drawing us nearer
We don't understand it
It never gets clearer
There's something mystical in our dreams
So simplistic it kicks and screams
All we will seem to reek on the edge of collapse
Nothing can keep us down
There's a dizzying feeling,
That's keeping us flying
Some glittering gauntlet
Without even trying
There's something radical in our hands
Nothing logical to our plans
Hay que empezar a cuidar el endocardio, el miocardio, el epicardio, el pericardio etc..
Porque no hay fármaco que te lo pueda curar, bitch.
miércoles, 22 de julio de 2009
Perfect
In another state of consciousness in another state of mind
Everything was almost perfect, everything fell into place,
That you may reach a different verdict,
If all the judges missed the case
In a parallel universe that's happening right now
Things between us must be worse but it's hard to see just how
And everything could have been perfect
Everything in the right place
Then I wouldn't have to play the suspect
Accused, abandoned and disgraced
I didn't choose, i didn't pull the trigger
It wasn't me, i'm just a plain and simple singer
I heard the sound, i turned my head around
To watch our love shot down
In another lonely universe, we're laying side by side
Well no-ones hurt and no-ones cursed and no one needs to hide
And everything is almost perfect
Everything is almost right
There are never any conflicts
There are never any fights
martes, 7 de julio de 2009
Silence
jueves, 25 de junio de 2009
happy day
Todos se dejan la barba y el pelo como él
Pero no son como él
Todos declaran y hablan en nombre de él
Como si fueran él
Yo me pregunto que estara pensando él
Si pudiera ver
Como se llenan de plata hablando de él
Sin saber nada de él
Todos se compran la remerita del Che
Sin saber quien fue
Su nombre y su cara no paran de vender…
Parece McGuevara’s o CheDonald’s
Parece McGuevara’s O CheDonald’s
No es hermano de Fidel ni pariente de Pinochet
El nació en la Argentina y salió a recorrer
No es de la época de Evita y a pesar del musical
Nunca fue asistente de Peron, el General
Yo me pregunto por qué le tocó a él
Ser Jesucristo al final del milenio, che, eh, Che…
(Y lo mataron como un perro en Bolivia)
Vuelve y vuelve mil veces al que matan asi
O es que al final nunca muere
El que no teme morir
Parece McGuevara’s o CheDonald’s
jueves, 18 de junio de 2009
And the places that I've been
Pictures, faces, girls I've loved
I try to remember when
Faded memories on the wall
Some names I have forgotten
But each one is a memory I
Look back on so often.
I look into the past
I want to make it last
I was there
I look into the past
I want to make it last
I was there
Looking back what I have done
There's lots more life to live
At times I feel overwhelmed
I question what I can give
But I don't let it get me down
Or cause me too much sorrow
There's no doubt about who I am
I always have tomorrow
I look into the past
I want to make it last
I was there
I look into the past
I want to make it last
I was there
Looking back upon my life
Faded memories on the wall
Looking now at who I am
I don't let it get me down.
Looking back upon my life
And the places that I've been
Pictures, faces, girls I've loved
I try to remember when
But I don't let it get me down
Or cause me too much sorrow
There's no doubt about who I am
I always have tomorrow
I look into the past
I want to make it last
I was there
I look into the past
I want to make it last
I was there
miércoles, 17 de junio de 2009
J'assume ma gravité
domingo, 14 de junio de 2009
incertitude
domingo, 7 de junio de 2009
♠♦♣♥
sábado, 6 de junio de 2009
◊
lunes, 1 de junio de 2009
À bon entendeur, salut!
domingo, 31 de mayo de 2009
Spleen et idéal
Les Fleurs du mal, Charles Baudelaire