viernes, 17 de abril de 2009

the room is on fire and she's fixing her hair

Me fue horrible en química.
Me va ir peor en maths.
Me destruyeron en geo.
Y no me quiero imaginar como me va ir con el control de Sor Juana Inés de la Curz y la madre que la parió.

Por otro lado, en el maldito DS de 4 horas me fue (sólo) mal.
Igual sigo amando incondicionalmente a mi queridisimo Monsieur Durand que nos hizo un tema aparte porque somos su clase única y favorita ^^. Que viva L'argumentation de l'utopie!
En todo el año habremos escrito mas de 40 hojas recto-verso de notas y planos. Escuchamos a Roger Fresnay y Kurt Weill, leimos desde imágenes cargadas de significados, hasta Thomas More, pansando también por algunos mitos, e inclusive a Borges en francés. Y en estos últimos dias estamos trabajando con Candide ou l'optimisme de Voltaire.
Es alucinante como este profesor transmite sus ideas y te 'enseña a pensar', te da las herramientas para que puedas vos mismo hacer tu análisis. Desde al año pasado que (por suerte!) lo tengo y desde el año pasado mi curiosidad por el francés (que me da medio por las pelotas que me quieran endoctrinar en el colegio como una citoyenne française cuadno soy algo bien opuesto) se disparó, escucho mucha música en francés, veo muchas peliculas canadienses, francesas y me estoy abriendo a muchas cosas nuevas. 

Y la verdad, la mentalidad de pendeja rebelde sin causa que tenía hace unos años de 'resistirme' a la postura imperialista de mi colegio (que te modela el cerebro) la veo tan, pero TAN idiota.
No voy a negar que en el liceo tratan de lavarte el cerebro, al contrario, desde jardín es 'Francia! Liberté, égalité, fraternité! Nous sommes ze bésst of ze bésst!', pero reconozco que es un privilegio para mí poder ir a ese liceo. Con esa postura tan cerrada no gané nada, esmás, fueron unos de los peores años que pasé, no crecí en el más minimo sentido y, sinceramente, comparandolo con este 2009 y con el 2008, que amplié mis horizontes literarios (?), que leí muuucho mucho muchos autores que para describirte una mujer te hacen 15 páginas, pero que esas 15 páginas no sólo tienen descrita a una mujer, sino que están llenos de doble sentidos y mensajes implícitos que ahora sí! puedo entender y que actualmente me encantan; sacreblé que beau loup d'eau (au féminin) que fui!
Poniendome a pensar, por suerte que ahora uso un par de neuronas más que antes.
Para mí y muchos más, las dissertations, commentaires de textes y lectures analytiques eran para embolar a los alumnos y hacer tediosas las clases, WRONG AGAIN! No puedo describir como me resulta mucho, pero mucho más fácil argumentarme en una discusión desde que tengo la costumbre de escribir 6 páginas de una pregunta.
 

Y ahora, como estoy sobreanamente al re pedo y no quiero adelantar todas las cosas que tengo apra la semana que viene (y la puta que lo parió) 
yé recopí el Capitulo 1 de Candide ou l'optimisme. Es bastante cómico y apesta a ironía. 
y la ironía es el antídoto para lo maravilloso
0800 traductor guguel (?)




Candide, ou l'optimisme

Traduit de l'allemand
de Mr. le Docteur Ralph

Avec les additions qu'on a trouvées dans las poche du docteur losqu'il mourut à Miden, l'an de grâce 1759

Chapite Premier. Comment Candide fut élevé dans un beau château, et comment il fut chassé d'icelui

Il y avait en Westphalie, dans le château de monsieur le baron de Thunder-ten-trunckh, un jeune garçon à qui la nature avait donné les moeurs les plus douces, Sa physionomie annonáit son âme. Il avait le jugenemt assez droit, avec l'esprit le plus simple; c'est je crois, pour cette raison qu'on le nommait Candide. Les anciens domestiques de la maison soupçonnaient qu'il était le fils de la soeur de monsieur le baron, et d'un bon et honnête gentilhomme du voisinage, que cette demoiselle ne voulut jamais épouser parce qu'il n'avait pu prouver que soixante et onze quartiers, et que le reste de son arbre généalogique avait été perdu par l'injure du temps.
Monsieur le baron était un des plus puissants seigneiurs de la Westphalie, car son château avait une porte et des fenêtres. Sa grande salle même était ornée d'une tapisserie. Tous les chiens de ses basses-cours composaient une meute dans le besoin; ses palefreniers étaient ses piqueurs; le vicaire du village était son grand aumônier. Ils l'appelaient tous Monseigneur et riaient quand il faisait des contes.
Madame la baronne, qui pesait environ trois cent cinquante livres, s'attirait par là une très grande considération et faisait les honneurs de la maison avec une dignité qui la rendait encore plus respectable. Sa fille Cunégonde, âgée de dix-sept ans, était haute en couleur, fraîche, grasse, appétissante. Le fils du baron paraissait en tout digne de son père. Le précepteur Pangloss était l'oracle de la maison, et le petit Candide écoutait ses leçons avec toute la bonne foi de son âge et de son caractère.
Pangloss enseignait la métaphysico-théologo-cosmolonigologie. Il prouvait admirablement qu'il n'y a point d'effet sans cause, et que, dans ce meilleur des mondes possibles, le château de monseigneur le baron était le plus beau des châteaux, et madame la meilleure des baronnes possibles.
"Il est démontré, disait-il, que les choses ne peuvent être autrement: car tout étant fait pour une fin, tout est nécessairement pour la meilleure fin. Remarquez bien que les nez ont été faits pour porter des lunettes; aussi avons-nous des lunettes. Les jambes sont visiblement instituées pour être chaussées, et nous avons des chausses. Les pierres ont été formñees pour être taillées et pour en faire des châteaux; aussi monseigneur a un très beau château: le plus grand baron de la province doit être le mieux logé; et les cochons étant faits pour être mangés, nous mangeons du porc toute l'année. Par conséquent, ceux qui ont avancé que tout est bien ont dit une sottise: l fallait dire que tout est au mieux."
Candide écoutait attentivement, et croyait innocement: car il trouvait mademoiselle Cunégonde extrêmement belle, quoiqu'il ne prit jamais la hardiesse de le lui dire. Il concluait qu'après le bonheur d'être né baron de Thunder-ten-trunckh, le second degré de bonheur était d'être mademoiselle Cunégonde; le troisième, de la voir tous les jours; et le quatrième, d'entendre maître Pangloss, le plus grand philosophe de la province, et par conséquent de toute la terre.


3 personas aburridas aportaron su opinión.:

J dijo...

decile NO a candide.
Qiero que te rias mucho. Por eso quiero que entres a mi blog. Te ama, tu vieja

J dijo...

ah y otra cosa. sos una ratona, hoy faltaste!

J dijo...

che comentario feminista: te duste cuenta alguna vez de quen el rosa es discriminado? no hay inguna bandera rosa

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