viernes, 20 de febrero de 2009

SparrowHawk


ya la subi a facebook- pero com oel blog es vip y nadie lo lee lo traduzco (?
redaccion de francés inspirada en el cuadro de Hopper Nighthawks.
y hago como la edicion del principito en version originale y la version traduite.

Version originale
Il était trois heures du matin. Il faisait froid, masi elle était habillée comme en été. Sa robe rouge était son identité, sa plus précieuse possession, la clé de son succès, quoi.
Elle parlait avec Smith, l'ancien barman devenu garçon de café. Ils parlaient comme d'habitude, ils étaient des alliés. Smith avait été ami du père de Sarah, mort après la guerre, depuis ce décès Sarah s'était réfugiée en lui.
Plus tard, vers quatre heures, un homme traverda la porte d'entrée. Edward Hawk, ancien bussinessman, ruiné par la loi sèche. Il s'approcha de la jeune fille. Il avait l'habitude de changer de femme comme de chemise, mais celle-ci en robe rouge avait un... je ne sais quoi...
Il demanda un café, sans sucre. Elle le regarda. Sarah avait aussi cette habitude de changer d'homme comme de chaussures, mais pourtant Hawk avait quelquechose qui ne la laissait pas regarder ailleur.
Elle se présenta, Sarah Sparrow, petite, faible, dépourvue, seule, comme le moineau. Il tourna le regard, inspectionna légèrement les alentours, etse présenta à son tour; Edward Hawk, rude, dur, fort, solitaire et foid, comme l'aigle.
Sarah demanda un café chaud à Smith, elle commençait à avoir froid. L'ancien bussinessman la balaya du regard comme disant "il était temps". Il eut un moment de silence. Il demanda finalement ce qu'une jeune dame de beauté comme la sienne faisait dans un petit café à ces heures. Elle prit son temps, puis lui répondit avec modestie; "c'est comme chez moi, et lui c'est comme mon père" pointant Smith.
Une longue conversation commençapour ne s'arreter qu'avec l'aube. La petite pluie du maton faisait briller l'asphalt des rues. Il enleva son manteau et le mit sur les épaules de la fillette, qui d'abord le refusa, mais qui finit par l'accepter avec le clin d'oeil qu'il lui lança.
Enfin, ce n'était qu'une excuse pour se revoir.

Version traduite
Eran las tres de la mañana. Hacía frío, pero estba vestida como si fuera verano. Su vestido rojo era su identidad, su posesion mas preciada, la clave de su exito, bah.
Hablaba con Smith, un viejo barman convertido en mozo. Hablaban como de costumbre, eran aliados. Smith había sido amigo del apdre de Sarah, muerto después de la guerra, luego de esa perdida, la joven se había refugiado en él.
Más tarde, hacia las cuatro de la madrugada, un hombre cruzó la puerta de entrada. Edward Hawk, ex- bussinessman en bancarrota por la ley seca. Se acercó a la joven. Tenía la costumbre de cambiar de mujeres como de camisa, pero esta en particular, vestida de rojo, tenía un.. je ne sais quoi..
Pidió un café, sin azucar. Ella lo miró. Sarah también tenía la costumbre de cambiar de hombres como de zapatos, pero Hawk tenia algo que le impedía sacar sus ojos de él.
Se presentó, Sarah Sparrow, pequeña, débil, desolada, sola, como el gorrión. Giró la cabeza y miró rapidamente a su alrededor. Finalmente se presentó el también; Edward Hawk, rudo, duro, fuerte, solitario y frío, como el alcón.
Sarah pidió un café caliente, ya empezaba a sentir el frio. El la miró como diciendo "ya era hora". Hubo un momento de silencio. Preguntó, enfin, qué hacía una joven de tal belleza en un barcito a estas horas. Se tomó su tiempo y le respondió con modestia; "es como mi hogar, y él, como mi padre" señalando a Smith.
Una larga conversacion empezó para terminar con el amanecer. El rocío hacia brillar el asfalto de las calles. Se sacó el sobretodo y le cubrió los hombros a Sarah, quien primero lo rechazó pero termino aceptandolo con el guiño del hombre.
Al fin y al cabo, era solo una excusa para volverse a ver..

parecia mas largo en la hoja.

2 personas aburridas aportaron su opinión.:

Juanii dijo...

bien ahi traduciendo para los que no entendemos nada guilli. parecía más largo en frances pero esta bueno...
se volvieron a ver? (?)

·guillị◊     dijo...

no les pregunté.. (?)

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